Au programme de cette Nuit Blanche à l’IMA, en accès libre : des expositions, le musée et le jardin éphémère du parvis de l’IMA, exceptionnellement réouvert pour l’occasion, enchanté par une installation sonore de Zad Moultaka et auréolé d’une canopée de lumière et de brume signée François Abelanet. Et une installation encore, plurisensorielle celle-ci, investie par des « performers » qui nous parlent d’exil, de migration et de mémoire du corps.
Ils sont quatre, venus des quatre coins du monde. Une Kazakhe, un Égyptien, une Malgache et un Français dansent pour exprimer le passage, l’exil, l’errance. Entourés du travail photographique de Cédric Matet et des portraits sonores de Cassandre Martinez, ils interprètent sous nos yeux une performance (installation chorégraphique) inédite, chorégraphiée par Mehdi Farajpour intitulée DO NOT ENTER. Les Passagers offrent un spectacle total de 20h à minuit pour une Nuit Blanche 2016 placée sous le signe du « franchissement ».
Salle d’exposition temporaire, niveau -2.
Le monde arabe par-delà les idées reçues, au fil d’un parcours qui présente ses cultures, ethnies, langues, confessions, dans toute leur diversité, depuis ses origines jusqu’à nos jours. Laissez-vous guider par nos conférencières, présentes jusqu’à 22 h.
Niveaux 4 à 7, entrée niveau 7
Découvrez les trésors de la collection Bouvier et à travers eux, le savoir-faire et la prodigieuse créativité des artisans du Maroc, d’Algérie et de Tunisie des XIXe et XXe siècles.
Musée, niveau 7
Des photographies réalisées en Irak sur le site archéologique de Girsu par l’artiste Emeric Lhuisset, qui questionne sur le futur à travers la ruine, preuve intangible du caractère éphémère de toute civilisation humaine.
Musée, niveaux 4,6 et 7
Un des hauts-lieux de la culture et du tourisme algériens, appréhendé sous l’angle de sa représentation. Une exposition qui s’articule autour de la peinture et de la photographie mais
convoque aussi d’autres champs de la création.
Salle d’exposition temporaire, niveau -1
L’exposition « Jardins d’Orient » aura fermé ses portes. Mais le temps d’une ultime soirée, le jardin éphémère rouvrira, enchanté par les « Vibrations atonales » : une installation sonore signée Zad Moultaka, façonnée par la seule voix de l’artiste, qui entraînera le visiteur dans une jungle rêvée…
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