Literature & poetry

Une heure avec... Lamia Ziadé

  • 18 September 2021
Une heure avec... Lamia Ziadé

Tous les samedis de 16h30 à 17h30, un nouveau rendez-vous pour découvrir et entendre les auteurs arabophones et francophones, émergents et confirmés, venant ou parlant du monde arabe. Littérature, poésie, bande dessinée... autour de leur actualité ou d’une œuvre moins récente, c’est leur univers que l’IMA souhaite mettre en lumière. Cette semaine, rendez-vous avec Lamia Ziadé et son roman Mon port de Beyrouth  (Editions P.O.L).

Les rencontres sont à la fois en présentiel à l’IMA et en direct sur Facebook ! 

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« Une heure avec... » / Les rencontres littéraires de l'IMA », c 'est une heure avec un auteur, en dialogue avec un modérateur, journaliste ou critique littéraire : Paula Jacques, Leïla Kaddour, Bernard Magnier, Francesca Isidori, Sylvie Tanette, Farouk Mardam-Bey..., et les lectures d’un comédien(ne). Le principe de la programmation étant de saisir l’opportunité du passage à Paris d’auteurs, pour leur proposer un lieu et un public où présenter leur actualité littéraire.

Samedi 18 septembre 2021

Auteure invité : Lamia Ziadé, Mon port de Beyrouth (Editions P.O.L)

Lamia Ziadé est une artiste et illustratrice libanaise installée à Paris. Après des études d’arts graphiques à l'École supérieure d’arts graphiques Penninghen à Paris, Lamia Ziadé travaille pour des couturiers (Jean-Paul Gaultier, Issey Miyake), et fait des illustrations de livres pour enfants, des dessins érotiques tout en dessinant pour la pub, le cinéma et la presse. Elle crée dorénavant des tableaux en y incorporant du tissu et divers matériaux. En 2010, elle a publié chez Denoël un roman graphique, Bye Bye Babylone qui raconte les premières années de la guerre à travers ses souvenirs d’enfant.

Mon port de Beyrouth  (Editions P.O.L) est son dernier roman : "Les silos détruits, tout devenait possible, rien n'empêcherait plus Beyrouth de sombrer dans les ténèbres. J'ai ressorti une carte de la ville. Elle est dépliée par terre depuis des semaines. Je mesure les distances. L'appartement de mes parents est à 825 mètres des silos du port. La maison de ma grand-mère, rue Pasteur, à 650 mètres. Sahar, elle, était sur le quai. Elle a filmé la dernière scène."

Animé par Bernard Magnier 

Journaliste, Bernard Magnier collabore à diverses revues et radios (RFI, France Culture). Il est également directeur de la collection Lettres africaines aux Éditions Actes Sud, conseiller littéraire du Tarmac et anime des stages de formation sur les littératures d’Afrique, du Maghreb, de la Caraïbe. Concepteur de diverses manifestations littéraires en France et à l’étranger, il est notamment programmateur du festival Littératures métisses depuis 1999.

Lu par Clémence Azincourt

Après une licence de philosophie, Clémence Azincourt se forme au conservatoire du VIème arrondissement d'art dramatique de Paris puis à l'école professionnelle supérieure d'art dramatique de Lille, sous la direction de Stuart Seide. Elle joue notamment avec Nasser Djemaï dans Immortels et Vertiges et avec Stuart Seide dans La Bonne Âme. Elle prête sa voix régulièrement à des fictions radiophoniques. Actuellement elle est en tournée dans le spectacle Vertiges de Nasser Djemaï et Maradona, c'est moi d'Etienne Durot.

Avec le soutien de la Fondation Jean-Luc Lagardère sous l’égide de la Fondation de France 

« Les rencontres littéraires bénéficient du soutien de la Fondation Jean-Luc Lagardère qui réaffirme ainsi son engagement profond en faveur de la diversité culturelle. Depuis 2013, la Fondation Jean-Luc Lagardère est associée à l’Institut du monde arabe pour valoriser et diffuser en France la littérature arabe à travers un Prix qui récompense chaque année l’œuvre d’un écrivain ressortissant de la Ligue Arabe.

 

Avec le soutien de La SOFIA et de COPIE Privée

  

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