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Nuit Arabic Sound System

Dans le cadre des Arabofolies, festival musical, des arts et des idées
  • 7 June 2019
Nuit Arabic Sound System

Dansez jusqu’à l’aube avec Shadi Khries avec Hasan Minawi, Gan Gah, Paloma Colombe et DJ Dziri dont les musiques naviguent entre l’acoustique et l’électronique, remixent le patrimoine musical à des compositions personnelles, voyagent aux quatre coins du monde en faisant fi des frontières.

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Shadi Khries

Il découvre le monde de la nuit à Amman (Jordanie) alors qu’il n’a pas encore 15 ans. Venus des quatre coins du monde arabe – Liban, Syrie, Egypte, Irak…, les musiciens underground jouent sans relâche pour leurs amis, proches et lointains, voisins, compagnons de cœur, de vie ou de nuit… et Shadi apprend avec eux à jouer de tous les instruments traditionnels orientaux. Il décide un jour de voyager pour étayer sa palette musicale et créer sa propre musique. Il réalise que deux mondes peuvent et doivent se mêler : l’électronique et l’organique.

Il les combine en live et invente ainsi une musique puissante, empreinte de sonorités électroniques et orientales. Connu pour ses collaborations avec Acid Arab et créateur du festival du désert du Wadi Rum, Shadi Khries a créé ce live spécialement pour cette nuit d’Arabic Sound System avec le jordanien Hasan Minawi, qui maîtrise à merveille de nombreux instruments orientaux, comme le mizmar, le kawala, le rebab, l’arghoul, le nay, le mejwiz (à vos dictionnaires !) et aussi l’accordéon, le violon…

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Paloma Colombe

« Danser jusqu’à la transe – et transcender les frontières » est le leitmotiv de Paloma Colombe. DJ, réalisatrice de films documentaires, productrice d’émissions de radio… la franco-algérienne au travail engagé veut créer des ponts entre les cultures des deux rives de la Méditerranée.

Comme ses ancêtres nomades, elle trouve son inspiration en voyageant et raconte en musique et en interviews l’histoire de ses origines berbères dans l’émission Le Mellotron sur Radio Amazigh. Ses sets sont un mélange de rythmes irrésistiblement dansants et de pépites électroniques glanées aux quatre coins du monde. Une transe polyrythmique qui nous emmène en voyage en Afrique, au Maghreb, au Moyen-Orient, en Amérique latine… Clubs et festivals internationaux s’arrachent sa participation auprès d’Omar Souleyman, Khidja, Mehmet Aslan ou Habibi Funk.

Beat Chronic

Gan Gah

Installé depuis quelques années à Bruxelles, Gan Gah mixe les rythmes électroniques avec les influences musicales collectées pendant son enfance marocaine à Agadir : musiques traditionnelles et populaires gnawa, marocaines et orientales. Ses premiers pas de producteur vont vers les beats hip-hop rap puis la trap. Il a fait le tour de tous les styles et a acquis ainsi beaucoup de techniques qui lui permettent de faire sonner la musique comme il l’entend. Gan Gah joue les percussions et tout ce qui est claviers arabes.

Il a inventé un nouveau son, un nouveau synthétiseur qui en combine trois différents pour que cela donne quelque chose d’unique, de plus mélodique et de plus excitant à écouter. Ce musicien accompli qui sévit déjà depuis plusieurs années en tant que beatmaker sait comment retourner un club avec ses beats ensorcelés. Il a une œuvre live en préparation pour l’automne dont il livrera peut-être quelques notes afro-orientalo-électroniques pendant la soirée.

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DJ Dziri

Née d’une mère belge et d’un père tunisien, la musique de DJ Dziri, anciennement connue sous le nom de Sadziky, est un prolongement de sa propre identité, laissant beaucoup de place à l’expérimentation sur le dancefloor. Basée à Bruxelles, elle partage sa fine connaissance du rythme à travers une techno arabe qui repousse les frontières de la musique de l'Afrique du Nord et du Moyen Orient. Reconnue pour son approche de genre, DJ Dziri emmène le public dans un voyage à travers l'inattendu, allant du côté profond de la techno minimale et de l'acid house à des sons hypnotisants.

Dziri est l’une des rares femmes DJ à se démarquer en tant que productrice sur la scène techno arabe. Elle fait entendre ses propres morceaux, éditions et remixes dans ses sets. Dans l’esprit de créer un espace personnel sans limites, elle a créé les Souk Sessions dans les soirées clubbing, d’abord à Toronto au Canada, puis en Europe lorsqu'elle est revenue dans son pays d'origine, la Belgique.

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