سينما
Carte blanche au Doha Film Institute

Séance courts métrages

  • 20 June 2021
  • 16h
Séance courts métrages

Trois courts métrages qataris sélectionnés avec Doha Film Institute dans le cadre de sa carte blanche

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Pour garantir la sécurité sanitaire de tous et conformément aux dispositions légales en cours, nous vous demandons de ne pas participer à cet événement en cas de symptômes cliniques pouvant évoquer une infection par le Covid-19 (toux, fièvre…).
Nous vous rappelons que le port du masque est obligatoire au sein de l’IMA.
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Le Doha Film Institute (DFI) s’est fixé pour objectif de sensibiliser le public qatari au cinéma, et de développer une formation et une industrie cinématographique dynamique au Qatar. Il œuvre à renforcer l’écriture de scénarios dans la région, tout en privilégiant un caractère universel en termes de contenu. Son credo : croire fermement au pouvoir du cinéma, vecteur d’ouverture des esprits : pour le DFI, « Les films sont la vie ».

Aussi a-t-il conclu nombre de partenariats culturels stratégiques avec de grandes institutions internationales, outre les événements qu’il organise à Doha pour offrir aux cinéastes la possibilité de participer à des ateliers de qualité et de bénéficier de la meilleure formation.

https://www.dohafilminstitute.com/institute

 

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Black Veil de A.J. Al-Thani 

Qatar, fiction, 2018, 15’

Scénario : A.J. Al Thani
Image : Christopheer Moon
Son : Deya Al Omari
Montage : Abdul Jabbar Maki
Musique : Yassin Ayari
Mixage son : Falah Hannoun
Interprètes : Sana Al Habib, Osama Hamza, Ahmed Al Nowfal Al Tamimi, Abdulrahman Al Ashqar

Producteur : Vibhav Gautam

Synopsis

Reem, une jeune Irakienne, vit à Mossoul. La ville est occupée par l’État islamique, dont son mari est un sympathisant. Un jour, elle trouve un chauffeur prêt à l’aider à s’échapper de Mossoul en se faisant passer pour son mari.

Biographie

Née au Qatar, A.J Al-Thani commence sa relation avec Doha Film Instiute avec sa participation à l’un des premiers ateliers de cinéma, qui a ouvert la porte à de nombreux cinéastes locaux pour poursuivre leur passion.

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Waves 98 de Ely Dagher

Liban/Qatar, animation, 2015, 15’

Animation : Ely Dagher, Laure Escafadals, Chadi Aoun
Son : Sound Zelig
Montage : Ely Dagher
Musique : Matthew Wilcock
Interprètes : Élie Bassila, Cherine Khoury

Producteur : Ely Dagher

Synopsis

Pour échapper à son morne quotidien dans la banlieue de Beyrouth, Omar erre dans les rues de la ville ; il marche le long d’un chemin rocailleux qui l’entraîne vers un monde surréaliste. Immergé dans un univers à la fois familier et étranger à sa réalité, le voici en lutte pour sauvegarder ses attaches.

Biographie

Artiste et cinéaste travaillant avec différents médiums, Ely Dagher est produit des œuvres qui s’entrelacent à différents niveaux. Son travail se concentre sur la superposition et la construction de récits multiples à travers le film, la peinture et l’installation.

Son travail explore la corrélation et les possibilités créées par le jeu entre les cultures, les histoires et la fiction. Les œuvres d’Ely sont une extension de ses interrogations, se balançant entre différents points d’identification et de structures visuelles, du surréalisme, de la science-fiction à l’occulte.

Waves 98 (2015) a reçu la Palme d’Or du 68ème Festival de Cannes.

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Brotherhood de Meryam Joobeur

Tunisie/Qatar/Canada, fiction, 2018, 25’

Scénario : Meryam Joobeur
Image : Vincent Gonneville
Son : Jean-David Perron, Aymen Laabidi, Théo Porcet, Cult Nation
Montage : Anouk Deschênes
Musique : Peter Venne
Interprètes : Rayenne Mechergui, Malek Mechergui, Jasmin Lazid, Chaker Mechergui, Mohammed Houcine Grayaa, Salha Nasraoui

Producteur : Annick Blanc, Habib Attia, Sarra Ben-Hassen, Maria Gracia Turgeon

Synopsis

Mohamed, un rude berger, vit dans la Tunisie rurale avec sa femme et ses deux fils. Un jour, son fils aîné, Malik, rentre d’un long voyage accompagné d’une mystérieuse épouse. Entre le père et le fils, la tension va monter jusqu’à la rupture.

Biographie

Diplômée de l’école de cinéma Mel Hoppenheim à Montréal, la scénariste et réalisatrice tuniso-américaine Meryam Joobeur est notamment connue pour ses courts métrages God, Weeds and Revolution (2013) et Born In the Maelstrom (2017). Elle développe actuellement trois longs métrages dont la version longue basée sur le court métrage Brotherhood et a participé au Talent Lab de la Berlinale (2016), au TIFF Talent Lab (2016) et au Rawi Screenwriter’s Lab (2016).

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